Entrepreneur : faut-il vraiment être présent sur Facebook ?

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Début 2018, Facebook annonce que la donne va changer : l’algorithme va évoluer.  Au passage, Zukerberg et ses acolytes font trembler tous ceux qui ont massivement investi sur le réseau social. Même si on ne dira jamais assez qu’en business il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier, difficile de faire l’impasse sur le réseau à plus d’1 milliard de profils.
Avril 2018, coup de tonnerre sur la toile, Facebook fait rimer son nom à Cambridge Analytica.  Ça sent de plus en plus mauvais pour le réseau qui voit, depuis quelques temps, son taux d’engagement se casser la figure et ses inscriptions en berne.

Plus qu’une seule idée en tête, déjà mise en place depuis ce fameux changement d’algorithme, il faut revenir aux fondamentaux, revenir à la recette du succès : Community First !

Bon, et sinon, si je me lance dans l’e-business, je fais quoi pour avaler tout ça ? En bref, une seule question à l’esprit : est-il encore nécessaire de s’inscrire et d’investir sur le réseau ?
On voit ça avec Gregory Cardinale, expert es. publicité Facebook qui aide les infopreneurs à générer du trafic et donc des ventes sur leur site web.


Peut-on toujours faire du business en utilisant FB ?

Facebook l’a annoncé à demi-mots, le réseau veut revenir à sa substance première, à ce qu’il a toujours été avant de devenir une gros panneau d’affichage en 4 par 3. Le réseau va revenir à la communauté, donner plus de visibilité à la famille et aux amis, créer à nouveau du lien social… Bref, redevenir un réseau social au sens premier du terme.

Pour les entreprises, notamment les sites d’e-commerce, cela signifie que leurs informations vont maintenant passer au second plan et avoir quelques miettes d’un morceau de gâteau qui se réduit de plus en plus, c’est pas forcément évident.

Pourtant, le succès de tout business, c’est la capacité d’adaptation à tous les niveaux. Idem pour Facebook. Il va falloir composer avec et prendre en compte la donnée suivante : l’auditoire veut bien émettre du contenu mais ne veut plus en recevoir. C’est l’overdose de publicités qui provoque un désintéressement réel. Alors comment continuer à communiquer avec sa cible et lui faire passer un message ? Parce-que qu’on se le dise, abandonner ce réseau, à plus forte réseau quand on vend un produit, n’est pas une option.

La réponse tient en un mot : la qualité.
A toute mauvaise nouvelle, il y a toujours un mal pour un bien. Gregory Cardinale nous explique que, malgré ce que l’on pourrait penser, le gâteau à se partager ne va pas se réduire mais bien au contraire. Les morceaux à « chipper » à son voisin vont devenir de plus en plus conséquents.  La multiplication de contenus de qualité moyenne, pour ne pas dire très moyenne, va provoquer leur « disparition » naturelle. Bref, il y a des places à prendre parce-qu’il va falloir s’adapter au changement ou disparaitre. Ça ne vous rappelle pas vaguement quelque chose ?


Quelle stratégie Facebook adopter ?

Pour devenir visible sur Facebook ou le rester, c’est donc une stratégie de contenus pertinente qu’il va falloir mettre en place et ce, sur le long terme. Parler pour ne rien dire mais juste pour être présent, c’est terminé. Le principal objectif va être de susciter l’attention et l’intérêt de vos followers pour qu’ils lèvent leur petit pouce bleu. Démonstration avec Grégory Cardinale en 3 étapes toutes simples pour un entrepreneur qui se lance.

1 . La vidéo simple et empathique

On le sait et on nous le rabâche à longueur de journée, le format vidéo explose et s’impose comme LE contenu à travailler. Grégory Cardinale propose comme première action de diffuser une vidéo qui va créer une première connexion avec votre cible. Il faut apporter de la valeur par rapport à ce que vous êtes et pourquoi vous vous différencier de tous les autres. Diffuser votre message de manière empathique comme la première conversation que vous envisagez avec celui ou celle que vous avez décidé de séduire. On n’arrive pas avec ses gros sabots en affichant la couleur dès le départ.

On est juste là pour montrer à notre auditoire qu’on a un petit quelque chose de plus et que, si ils nous suivent dans l’aventure, on va surement avoir quelque chose à leur apprendre et/ou apporter et que nous suivre c’est donc une très bonne idée. Appel à l’action naturel sans forcer = première phase d’approche réussie. 

2. Développer un message un peu plus direct 

Une fois que la connexion et la confiance sont établis, il est temps de rentrer un peu plus dans le vif du sujet. Pourquoi ne pas commencer à parler de votre offre d’un point de vue un peu plus large, donc plus subtil, sans donner l’impression de vouloir vendre quelque chose. On en est toujours pas à ce niveau de l’entonnoir. Il faut continuer à développer le message initial tout en commençant à dévoiler la finalité. Seconde phase : entretenir la relation sans brusquer.

3. Conclure

Si le vocabulaire employé vous fait sérieusement penser à une technique de drague, je vous le confirme, ce sont les mêmes leviers et les mêmes enjeux qui sont mis en place.
La confiance est établie, la cible sait à qui elle a affaire et elle croit en votre message, vous pouvez maintenant conclure la vente. Personne n’est agressé mais, au contraire, on a rassuré et apporté une véritable différence dans l’approche et dans le message diffusé. Le client est doublement content.

Vous l’aurez compris c’est l’investissement qui va primer. Oui, les choses prennent du temps et avant de recevoir les résultats, il faut donner et encore donner. C’est l’assurance d’un marketing pérenne et viable qui s’instaure et qui promet une relation client de qualité et n’oubliez pas que c’est cela que vous devez privilégier. Le client est roi. Point barre.

Se lancer avec Grégory Cardinale

Pour construire une légitimité et une expertise hors-pair dans son domaine, Grégory Cardinale a utilisé la même méthode. Il a longtemps donné et formé des info-preneurs avant de créer des formations en ligne. Aujourd’hui, vous pouvez apprendre avec lui, en toute transparence, à mieux communiquer sur Facebook, à developper ce fameux tunnel de conversion ou entonnoir de vente qui va être la base de votre business et à jongler avec les deux piliers du marketing : le trafic et la conversion.
Vous allez aussi apprendre à parler à votre communauté, peut-être même créer un groupe lié à votre page pour assurer un maximum de reach.

Dans tous les cas, vous allez construire votre crédibilité qui nourrira des conversations positives vous concernant. Alimentant ce fameux bouche-à-oreille qui réussit un taux de conversion de plus de 90%, vous allez soigner votre réputation. Et votre réseau va commencer à se développer de plus en plus.

Avec le temps, on récolte toujours les fruits de ses efforts. Il n’y a pas de miracle, même sur Facebook. L’algorithme fait des siennes mais c’est aussi grâce à cela que l’on va se démarquer pour émerger. Ça reste, au fond, le travail quotidien de l’entrepreneur sur le long terme : apporter de la valeur ajoutée, miser sur beaucoup de tableaux et soigner sa notoriété. Pour le reste, c’est le temps qui convertira les efforts en ventes et donc en chiffre d’affaire qui grossit, grossit, et grossit encore. 


Pour aller plus loin :

Le Facebook de Gregory Cardinale
Son site Atelier Web Marketing

Et bien évidemment le podcast avec Greg Cardinale à écouter ici : https://babiz.podbean.com/category/gregory-cardinal/

1 commentaire

  1. […] ça en tête, Alexia est partie à leur conquête sur une terre qu’elle connait bien : Facebook. Membre de plusieurs réseaux anglophones, elle suit les conversations, apprend de nouvelles choses […]

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